Vol à l’étalage le professionnalisme de NEWFACE Sécurité
Dans les coulisses de l’équipe de sécurité NWFACE secteur Nancy
Les agents de sécurité de NEWFACE ont accepté de nous faire découvrir les coulisses de leurs missions de sécurité.
Ils sont régulièrement à l’origine d’interpellations de voleurs à l’étalage aux seins des magasins supermarchés.
Leur professionnalisme est souvent souligné par les policiers du commissariat de Nancy qui réalisent régulièrement de nombreuses affaires de vols à l’étalage, d’escroqueries ou de fausses monnaies grâce à leurs interventions. Les agents de sécurité NEWFACE sont en effet particulièrement efficaces.
Nos agents bénéficient de plan de formation important dans de nombreux domaines. En plus de leur qualification obligatoire pour avoir la carte professionnelle qui est à renouveler tous les 5 ans.
La fidélité, l’investissement et la formation sont donc une partie de la réussite de notre équipe composée de plusieurs agents qui chaque année procèdent à des centaines interpellations, en récupérant de dizaines de milliers € de marchandises volées, déposé des vingtaines de plaintes/mois.
Le quotidien
Nos agents «professionnels» détectent souvent des comportements d’une personne lambda qui, par principe, va glisser un bouillon de poule ou des piles dans sa poche alors qu’il passe à la caisse avec un chariot de 200 €.
Et si certains passent à travers les mailles du filet une fois, c’est rare qu’ils ne se fassent pas avoir au second passage. «Quand on s’est fait voler sans s’en apercevoir on revient sur les images pour identifier l’auteur. Et on communique aussi entre magasin même avec les concurrents» lâche le responsable de secteur Nancy de NEWFACE.
Face aux délinquants !
«On ne veut pas chasser à tout prix des délinquants. On préfère empêcher qu’ils viennent chez nous par de la visibilité et de la prévention. C’est aussi pour ça que l’on dépose plainte systématiquement», lâche-t-il ce responsable de NEWFACE qui essaye de déranger le moins possible la police.
Il rajoute On ne les appelle que quand la situation dégénère ou si les gens interpellés nient le vol ou n’ont pas de quoi justifier de leur identité ou si le préjudice est important ou encore si l’auteur est mineur ou récidiviste. Sinon l’essentiel du temps on fait une plainte simplifiée que l’on transmet au parquet. Même si la personne paye ce qu’elle a volé». Car selon ce Responsable, le triptyque du voleur c’est le besoin, l’opportunité et l’impunité. «Le besoin, on ne peut pas l’empêcher. L’opportunité, on peut jouer dessus avec nos dispositifs de caméras, d’antivols et la présence des agents. Et l’impunité, on ne peut lutter que justement en déposant plainte. Car s’il n’y a pas de conséquences les voleurs vont revenir».