Gardiennage de chantier
Sur un chantier comme ailleurs, le risque zéro n’existe pas. Les nuits et week-end, un chantier de construction peut aiguiser la convoitise des voleurs, la curiosité du quidam ou encore la fibre artistique des tagueurs. Les vols et les dégradations retardent souvent l’avancement d’un projet. Plus subtilement, des fresques indésirables ou un accident nocturne d’un intrus peuvent nuire à l’image de marque du maître d’ouvrage. Ce dernier doit donc prendre des mesures pour protéger son chantier contre toute effraction. A côté des palissades et autres systèmes d’alarme, l’arme la plus efficace reste la présence humaine d’agents de gardiennage de chantier.
À la fin des quarts de travail, le chantier de construction est déserté jusqu’au lendemain. Des équipements et des matériaux coûteux sont souvent laissés sans surveillance, invitant au vol et au vandalisme. De tels actes peuvent retarder des projets pour une période de temps indéterminée, engendrer des dépenses supplémentaires et ainsi réduire les marges.
Pour y faire face, NEWFACE Sécurité travaille en étroite collaboration avec ses clients pour créer des solutions globales de sécurité pour le chantier de construction, dont les services de :
- Surveillance de sites ;
- Conseils et enquêtes ;
- Évaluation des risques ;
- Suivi des opérations grâce à ses centres de contrôle offrant un soutien 24 heures sur 24, sept jours sur sept, et des technologies innovantes.
- Signalisation routière ;
- prévention des pertes ;
- patrouilles mobiles ;
Quel type de prestations choisir ?
Les sociétés de surveillance, régies par la loi du 12 juillet 1983, proposent généralement quatre prestations aux entreprises du BTP.
Le gardiennage aléatoire.
C’est la solution la plus économique. Un agent est présent durant un week-end ou juste le temps d’une nuit en semaine, par exemple pour protéger des matériaux non encore utilisés.
La surveillance régulière de nuit et de week-end.
Cette formule est assez commune. Les chantiers y recourent souvent lors des phases terminales pour éviter les dégradations ou les vols d’équipements électriques ou sanitaires.
La garde permanente 24h/24.
Elle reste rare. Exigée lors de l’appel d’offres, elle s’applique aux projets sensibles au regard de l’ouvrage ou du voisinage.
La garde partagée.
Elle consiste à mutualiser, par rondes d’un agent de surveillance, la garde de plusieurs chantiers. Difficile à mettre en place, cette prestation nécessite que les sites soient relativement proches les uns des autres et qu’ils aient, pour des questions de responsabilités, le même maître d’ouvrage.
Comment organiser la garde ?
Parfois obligatoire, l’érection d’une palissade est souvent conseillée car elle limite et canalise les accès au chantier. Logiquement, il est recommandé d’adapter le nombre d’agents de surveillance au nombre de portes. En début de mission ainsi qu’à chaque évolution majeure du projet, il convient de faire visiter le site au gardien, de l’alerter sur la dangerosité des zones et, au besoin, de le guider dans l’organisation de sa ronde. Sur un site, il faut protéger en priorité les bungalows et les lieux où ont été remisés les matériels et équipements de chantier, éventuellement les matériaux de construction. Même avec un gardien sur place, leur mise sous alarme reste conseillée.
Enfin, il faut rappeler que sur le chantier, le gardien (agent de gardiennage) est soumis aux mêmes règles de sécurité que les ouvriers (port du casque, de chaussures de sécurité, etc.).
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